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Localiser son iPhone même quand celui-ci est éteint !

Depuis iOS 7 et la fonction « Localiser », les iPhone peuvent être localisés facilement grâce à un compte iCloud. Avec iOS 15, Apple a introduit une nouvelle fonctionnalité dans la fonction « Localiser » qui permet de retrouver son téléphone même s’il est éteint et cela jusqu’à 24 heures après. La question qui se pose est comment pouvons-nous localiser un téléphone alors qu’il est éteint ?

Tous les téléphones sont équipés d’une batterie qui leur offre un certain nombre d’heures de fonctionnement. Quand votre téléphone arrive en réserve d’énergie, il vous demande de le recharger ou de passer en mode économie d’énergie. C’est là où réside le secret. Avec iOS 15, quand votre téléphone arrive en réserve d’énergie, il se garde une réserve qui pourra alimenter une puce électronique basée sur la technologie Ultra wideband permettant d’offrir des fonctionnalités de géolocalisation particulièrement précises.

C’est grâce à cette technologie Ultra wideband mise en œuvre par la puce U1 conçue par Apple que la fonction « Localiser » améliorée est possible.

Parce que cette puce consomme très peu d’énergie, une batterie même déchargée (mais où il reste encore une toute petite réserve) peut l’alimenter. Cette puce équipe les appareils suivants : iPhone 11 et plus, Apple Watch Series 6 et plus, HomePod mini, Apple AirTag.

Mais que nous apporte réellement cette nouvelle fonctionnalité ?

Imaginons que vous vous faites voler votre téléphone et que la personne éteint le téléphone. Sans cette fonctionnalité, votre téléphone ne peut plus émettre sa position. Mais grâce à cette nouvelle puce U1, il pourra communiquer sa position avec d’autres téléphones qui sont à côté de lui et cela pendant 24 heures. Vous avez donc tout intérêt à réagir au plus vite en cas de perte ou de vol de votre téléphone.

Pour plus d’informations sur cette technologie, nous vous invitons à suivre notre formation Maintenance des appareils iOS : analyser, diagnostiquer et dépanner.

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Comment vérifier la température interne du processeur de votre Mac

En ce moment, la France subit des vagues de chaleur éprouvantes tout à la fois pour nous, mais également pour les appareils électroniques. Un iPhone ou un iPad vous avertit lorsqu’il détecte qu’il fait trop chaud avant de s’éteindre, tandis qu’un Mac peut simplement s’éteindre soudainement.

S’il ne s’éteint pas, il se peut que vous le fassiez fonctionner à un niveau proche de sa capacité maximale et que vous usiez davantage les composants qui pourraient tomber en panne plus rapidement que prévu.

Selon Apple, vous ne devez utiliser un Mac que lorsque la température ambiante, c’est-à-dire la température de l’air autour de l’appareil, est comprise entre 10 et 35 °C et que le taux d’humidité est inférieur ou égal à 95 %.

Les composants internes produisent beaucoup plus de chaleur que la température ambiante, avec environ 40 °C, souvent le minimum auquel ils fonctionnent dans des circonstances normales. Les CPU, GPU, ports et autres éléments ne devraient pas dépasser 89 °C pendant de longues périodes.

Quelle température ne doit pas dépasser un processeur ?

Ce seuil peut quelque peut varier, mais en règle générale, on estime qu’un CPU ne devrait pas dépasser les 80 °C. À partir de 85 °C, il est vraiment temps de ralentir la cadence et en tout cas, aucun CPU ne doit dépasser les 100 °C.

À 100 °C, vous devez soit déterminer quels sont les applications qui font travailler votre ordinateur de façon aussi extrême et les couper si possible, soit éteindre le système pendant un certain temps. Souvent, un navigateur Web est le responsable que vous recherchez. Vous pouvez par exemple utiliser l’application Moniteur d’activité dans Applications > Utilitaires pour regarder l’impact énergétique dans la colonne Énergie. Plus l’ordinateur consomme d’énergie, plus le processeur chauffe.

Les Macs modernes disposent d’un nombre important de capteurs pour détecter les problèmes et gérer la vitesse des ventilateurs dans les modèles qui en sont équipés.

Sur certains Macs Intel, vous pouvez utiliser l’application Terminal ou un utilitaire gratuit pour une surveillance de base de la température. Dans Terminal, entrez la commande suivante et appuyez sur Retour :

sudo powermetrics –samplers smc | grep -i « CPU die temperature »

Notez que ces guillemets sont des guillemets droits. Pour obtenir la barre verticale (pipe), appuyez sur les touches Option+Shift+L. Entrez votre mot de passe administrateur lorsque vous y êtes invité. Ceci fournira une lecture continue de la température du CPU. Appuyez sur Control-C pour arrêter la surveillance.

Vous pouvez également installer l’application gratuite Fanny qui propose un simple ensemble d’informations dans la barre des menus ou sous forme de widgets de notification. Les détails incluent la température moyenne du CPU et du GPU, ainsi que la vitesse actuelle des ventilateurs.

Un dernier conseil avant de nous quitter. Laissez toujours respirer votre ordinateur en évitant d’obstruer les aérations généralement à l’arrière de l’écran ou sur les côtés. Si vous le pouvez, surélevez l’ordinateur pour que la chaleur se dissipe plus facilement et évitez si possible le contact avec des éléments comme les couvertures ou les coussins. N’oubliez pas non plus que l’air qui circule dans le boîtier de votre ordinateur est capté par les ventilateurs, fait un circuit dans le boitier et est expulsé par d’autres ventilateurs. Si la température de la pièce dans laquelle vous êtes est élevée, l’air qui va circuler dans le boîtier ne refroidira pas les composants internes. Entendre les ventilateurs de votre ordinateur tourner à fond n’est donc pas le signe d’une ventilation efficace.

Si vous souhaitez apprendre les principes généraux de la maintenance des Mac et les méthodes spécifiques pour analyser, évaluer, identifier, dépanner et réparer les problèmes matériels et logiciels des différents modèles, nous vous invitons à suivre la formation Technicien de maintenance Mac, disponible en présentielle et à distance.

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CloudMensis : un nouveau malware pour Mac !

Récemment, le laboratoire de recherche en cybersécurité d’ESET a identifié un nouveau malware qui passe par des services de stockage en ligne et par une porte secrète pour dérober toutes les informations de votre Mac. Si vous avez un compte Dropbox ou pCloud, soyez vigilant.

Comment fonctionne t-il ?

Le programme malveillant, baptisé CloudMensis, contourne les règles système de macOS pour permettre l’exécution de code arbitraire et s’octroyer des privilèges normalement inaccessibles. Lors d’une première phase, CloudMensis exécute un premier payload pour télécharger un second malware depuis un compte pCloud. Dans un deuxième temps, il va récupérer des informations à caractère personnel.

Que recherche-t-il comme données ?

Le malware CloudMensis est apte à exécuter trente-neuf commandes différentes sans l’accord du propriétaire du Mac, à distance et en toute discrétion. Il est également à même de contourner les règles de sécurité liées à TCC (Transparency Consent and Control). Parmi ses capacités, on retrouve la possibilité de télécharger des fichiers depuis la mémoire, dont des captures d’écran et même des e-mails. Un véritable risque pour les entreprises par exemple.

Pour le moment, il semble que les attaques soient ciblées et ne concernent qu’une minorité de personnes et d’entreprises.

Que peut-on faire pour l’éradiquer ?

Au jour où cet article est publié, les experts ayant découvert le malware ne donnent pas d’indications précises pour s’en prémunir, ce qui laisse penser qu’il faudra attendre une mise à jour de la part des développeurs pour protéger son Mac.

En attendant, il est recommandé de mettre à jour régulièrement votre système d’exploitation en téléchargeant la dernière version de macOS Monterey 12.5.

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Munki – Importer le programme d’installation de macOS Monterey

Si vous souhaitez proposer à vos clients Munki le programme d’installation de macOS Monterey (par exemple, mais cela fonctionne avec les versions antérieures de macOS), vous vous rendrez compte qu’il n’est pas possible de l’ajouter avec MunkiAdmin. En effet, MunkiAdmin permet d’importer des paquets (.pkg) ou des images disque (.dmg) mais pas directement des Apps.

Le programme d’installation de macOS étant une App, cela ne devrait donc pas être possible. Cependant, il existe un script disponible ici permettant de créer des images disque de programmes d’installation de macOS. Une fois ce script téléchargé, il ne reste plus qu’à l’exécuter et à patienter quelques minutes pour récupérer une image disque contenant le programme d’installation de macOS.

Vous serez alors à même de l’importer dans MunkiAdmin puis de le distribuer vers vos clients Munki.

Compatibilité

Ce script fonctionne avec les programmes d’installation de macOS versions 10.12.6 à macOS 12.x. Il existe un script permettant de créer des images à partir de versions antérieures de macOS ici.

Exécution du script

Le script s’exécute en lui passant deux arguments :

  • le chemin vers le programme d’installation de macOS
  • le chemin de destination de l’image disque

Cela devrait produire un nouveau fichier d’image disque dans le répertoire de sortie spécifié nommé de cette façon : macOS_[Version_de_macOS]_installer.dmg

Commande Terminal à exécuter

sudo « /chemin_vers_le_script/create_macos_vm_install_dmg.sh »  « /Applications/Install macOS Monterey »  ~/Desktop

Pour vous former sur la solution Munki, le catalogue Agnosys propose deux formations :
– Munki – Gérer son catalogue applicatif pour Mac : en présentielle ou à distance
– Munki – Optimiser sa solution de déploiement pour Mac : en présentielle ou à distance

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Comment recharger la batterie de son iPhone ?

Vous venez d’acheter un iPhone et vous vous demandez comment recharger sa batterie. Beaucoup de messages opposés circulent à ce sujet. Certains disent qu’il faut décharger complètement son téléphone pour optimiser la durée de vie de sa batterie, d’autres au contraire disent qu’il ne faut pas le décharger complètement. Pour éclairer ce sujet, il faut déjà savoir quel type de batterie est utilisé dans nos téléphones.

Aujourd’hui la technologie lithium-ion est utilisée

Les batteries intégrées des iPhone utilisent la technologie lithium-ion. Par rapport aux batteries traditionnelles, les batteries lithium-ion se chargent plus rapidement, durent plus longtemps et ont une densité de puissance supérieure, ce qui se traduit par des batteries plus légères, à l’autonomie plus grande. La technologie lithium-ion rechargeable est actuellement la meilleure technologie pour votre appareil.

Voyons comment optimiser les performances de la batterie

L’autonomie de la batterie est la durée pendant laquelle votre appareil peut fonctionner avant de devoir être rechargé. Ce que l’on appelle « durée de vie de la batterie » correspond à la durée de vie totale de la batterie avant que vous ne deviez la remplacer. L’ensemble de ce que vous faites avec votre appareil affecte l’autonomie et la durée de vie de la batterie. Quelle que soit la façon dont vous l’utilisez, il est possible d’apporter des améliorations. La durée de vie d’une batterie est liée à son « âge chimique », qui représente plus que le simple passage du temps. Celui-ci regroupe des facteurs différents, tels que le nombre de cycles de charge et l’entretien dont a bénéficié la batterie.

La technologie lithium-ion permet de combiner à la fois une charge rapide pour plus de commodité et une charge lente pour la longévité. Une batterie lithium-ion Apple procède d’abord à une charge rapide pour atteindre rapidement 80 % de sa capacité, puis elle passe en charge de maintien, plus lente. La durée nécessaire pour atteindre ce premier palier de 80 % varie en fonction de vos réglages et de l’appareil que vous chargez. Il se peut que les logiciels empêchent une charge de plus de 80 % en cas de dépassement des températures recommandées pour la batterie. Ce processus combiné vous permet non seulement de charger votre batterie plus vite, mais également de prolonger sa durée de vie utile.

Suivez ces conseils pour optimiser les performances de la batterie et prolonger sa durée de vie.

  • Lorsque vous stockez votre iPhone pour une longue durée, rangez-le à moitié chargé.
  • Évitez de charger votre iPhone dans un environnement chaud, de l’exposer à des températures élevées ou de le laisser au soleil pendant de longues durées.
  • Rechargez votre batterie au lithium‑ion Apple quand vous le souhaitez. Il n’est pas nécessaire de la laisser se décharger entièrement avant de la recharger. Les batteries au lithium‑ion Apple fonctionnent par cycles de charge. Vous terminez un cycle de charge lorsque vous avez utilisé (déchargé) une quantité égale à 100 % de la capacité de votre batterie, mais il n’est pas nécessaire que celle-ci provienne d’une même charge. Par exemple, vous pouvez utiliser 75 % de la capacité de la batterie la journée, puis la recharger complètement pendant la nuit. Si vous en utilisez 25 % le lendemain, vous avez déchargé un total de 100 %, et les deux jours s’additionnent pour former un cycle de charge. Il faut parfois plusieurs jours pour terminer un cycle. La capacité de n’importe quel type de batterie diminue après un certain nombre de charges. Avec des batteries au lithium-ion, la capacité diminue légèrement à chaque cycle de charge complet. Les batteries au lithium-ion Apple sont conçues de manière à conserver au moins 80 % de leur capacité initiale pendant un nombre élevé de cycles de charge, qui varie selon le produit. Vous pouvez donc recharger à tout moment votre iPhone, cela n’augmentant pas le nombre de cycles, chaque cycle correspondant à une décharge et recharge complète de la batterie.
  • Ne laissez pas votre téléphone déchargé complètement pendant une longue période. L’idéal est de maintenir une charge comprise entre 20 % et 80 %.

Si vous souhaitez acquérir les connaissances nécessaires pour réaliser des actions de maintenance sur les batteries au lithium, dans les règles de l’art et en toute sécurité, nous vous invitons à vous inscrire à notre formation Sécurité des batteries, disponible en présentielle et à distance.

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Fonctionnement du circuit BMS dans une batterie au lithium

Tous les téléphones et ordinateurs portables sont équipés d’un circuit BMS… et certaines voitures d’aujourd’hui aussi ! Le système d’équilibrage de charge d’une batterie est appelé en anglais Battery Management System ou BMS.

Ce circuit permet non seulement d’arrêter la charge de la batterie mais il permet aussi de contrôler la vitesse de charge et de décharge de la batterie. C’est grâce à lui que les utilisateurs peuvent laisser charger toute la nuit un appareil sans se préoccuper de la fin de charge car c’est le circuit BMS qui s’en charge.

Une autre fonctionnalité du circuit BMS est l’équilibrage de chaque module que contient une batterie. Lorsqu’une batterie fait 11 Volts, elle contient probablement trois éléments en série. Le circuit BMS permet de vérifier chaque élément pendant la charge et la décharge, pour optimiser au maximum l’énergie de la batterie et sa durée de vie. Il permet aussi de compter les cycles de la batterie et ainsi mesurer son état de santé.

Pour mieux détailler son fonctionnement, considérons la batterie d’un MacBook Pro 15″ de chez Apple. Elle est composée de 6 cellules. Chaque élément est constitué de 2 cellules montées en parallèle puis les 3 éléments sont montés en série. Cette configuration est appelée 2P/3S. La tension de chaque élément en nominal est de 3,7 V. Avec 3 éléments en série, le voltage global est de 3,7 V * 3 = 11 V.

Le chargeur de batterie applique une tension à l’extrémité de la batterie mais il ne peut pas contrôler chaque élément individuellement. C’est là qu’intervient le circuit BMS. Il va contrôler la charge globale de la batterie mais aussi vérifier que la tension de tous les élément en série sont parfaitement équilibrés les uns avec les autres et cela pendant la charge et la décharge de la batterie. Plus l’équilibre de chaque élément est respecté, plus la batterie sera optimisée et gardera sa capacité.

Nous comprenons la valeur de ce circuit intégré dans les batteries de nos ordinateurs. Il faut penser à régulièrement vérifier la disponibilité de mises à jour car le circuit BMS pourrait en bénéficier. En conclusion, nos batteries sont de plus en plus sûres grâce au circuit BMS qui contrôle la charge et la décharge de la batterie.

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MOM devient multilingue pour l’intégration et la migration MDM

Avant de devenir un outil d’aide à la migration d’un Mac d’un MDM à un autre, MacOnboardingMate (MOM) était à l’origine un assistant conçu pour rationaliser l’intégration d’un Mac dans un MDM. Un flux de travail MOM est configuré via un fichier de configuration comportant plus d’une centaine de clés pour couvrir l’étendue des besoins des clients. Aucune connaissance en matière de script n’est requise, aucune perte de temps pour adapter un script existant à la dernière version de macOS ou du MDM.

Mais il manquait une pièce du puzzle : la localisation de l’interface pour afficher toutes les instructions dans la langue préférée de l’utilisateur connecté. Vous devinez à travers ce post que la pièce a été trouvée. Dès aujourd’hui, les clients MOM peuvent construire leurs propres traductions de l’ensemble des chaînes de caractères affichées en utilisant une méthode standard basée sur la construction d’un fichier PO à partir d’un modèle fourni. Au moment de l’exécution, MOM lit les langues définies dans la Préférence Système Langue et région de haut en bas et si un fichier PO est disponible pour cette langue, il est utilisé pour la durée du flux de travail.

Cette nouvelle capacité est très importante si l’on considère que MOM prétend que l’utilisateur final devrait être capable de migrer son propre Mac entre deux MDM comme il a pu l’intégrer au départ en utilisant l’inscription automatisée des appareils. De plus, la localisation peut être utilisée en conjonction avec une capacité de MOM+ qui propose de restreindre la disponibilité du processus de migration aux heures d’ouverture du support informatique local, en fonction du fuseau horaire de l’appareil.

La capacité de localisation est offerte aux propriétaires actuels et futurs de licences MOM et MOM+.

Pour en savoir plus sur MacOnboardingMate, veuillez visiter les pages Introduction, Support des solutions de gestion, Capacités et Offres et tarification du site Web Agnosys.

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MOM made multilingual for MDM onboarding and migration

Before becoming a tool to help migrate a Mac from one MDM to another, MacOnboardingMate (MOM) was originally a wizard designed to streamline the onboarding of a Mac in an MDM. A MOM workflow is configured via a configuration file with more than one hundred keys to cover the scope of customer needs. No scripting knowledge required, no time lost to adapt an existing script for the latest version of macOS or the MDM.

But one piece of the puzzle was missing : the localization of the interface to display all instructions in the logged in user’s preferred language. You guess from this post that the piece has been found. As of today, MOM customers can build their own translations of the displayed set of strings using a standard method based on building a PO file from a provided template. At runtime, MOM reads the languages defined in the Language & Region System Preference from top to bottom and if a PO file is available for that language, it is used for the duration of the workflow.

This new capability is very important considering that MOM claims that the end user should be able to migrate his own Mac between two MDM as he was able to first onboard it using Automated Device Enrollment. Furthermore, localization can be used in conjunction with a MOM+ capability that offers to restrict the availability of the migration process to the local IT Support hours, based on the time zone of the device.

Localization capability is offered to current and future MOM and MOM+ license owners.

To learn more about MacOnboardingMate, please visit the Introduction, Management Solutions Support, Capabilities and Offers and pricing pages of the Agnosys website.

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Comment fonctionne Face ID sur votre iPhone ?

Lors de la première configuration de Face ID, votre iPhone effectue un premier scan de votre visage sous différents angles. Ces scans sont transmis à un modèle d’apprentissage automatique capable d’extraire des traits distinctifs du visage, comme sa forme unique. Ensuite, cette représentation de votre visage est chiffrée et stockée en mémoire sur votre appareil, dans un composant appelé Secure Enclave. Ce processus garantit que ces informations d’identification personnelle restent exclusivement sur votre iPhone.

Si vous disposez d’un autre appareil qui utilise Face ID, celui-ci devra effectuer ses propres scans de votre visage. La représentation de votre visage n’est pas partagée entre les différents appareils.

Lorsque vous déverrouillez votre iPhone en utilisant Face ID, votre appareil effectue un nouveau scan de votre visage. Ce nouveau scan passe ensuite par le même modèle d’apprentissage automatique formé lors de la configuration initiale de Face ID. Le modèle identifie la forme unique de votre visage et la compare avec la représentation stockée dans le Secure Enclave.

Si les représentations sont identiques, l’iPhone se déverrouille.

Chaque fois que vous déverrouillez votre iPhone, Face ID met à jour sa représentation de votre visage dans le Secure Enclave. Ainsi, même si votre visage change un peu avec le temps, Face ID s’adapte pour continuer à fonctionner correctement.

La conservation des données sur votre appareil et le traitement des données pour générer des prédictions (également sur votre appareil) constituent ce que l’on appelle l’intelligence artificielle de votre appareil.

Si vous souhaitez acquérir les connaissances requises pour devenir technicien de maintenance iOS dans un établissement offrant des services de dépannage (agréé ou non par Apple), nous vous invitons à vous inscrire à notre formation Technicien de maintenance iOS, disponible en présentielle et à distance.

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Ma première tâche automatique avec l’app Raccourcis d’iOS 15

L’app Raccourcis d’iOS 15 n’est pas nouvelle mais elle permet de réaliser des tâches plus rapidement que nous ne le ferions manuellement.

Un raccourci vous permet d’effectuer rapidement des tâches dans vos apps. L’app Raccourcis vous permet de créer rapidement vos propres raccourcis en plusieurs étapes.

Une automatisation est un type de raccourci qui est activé par un événement, et non manuellement. Vous pouvez utiliser l’app Raccourcis pour configurer une automatisation personnelle ou pour le domicile par exemple, en utilisant vos appareils connectés de la maison (lampes, prises, etc.) puis faire en sorte que le raccourci automatisé s’exécute lors de votre arrivée ou de votre départ d’un lieu, ou lorsqu’un événement survient.

Nous vous proposons ici une tâche d’automatisation qui vous avertira lorsque vous serez connecté à un réseau Wi-Fi connu.

En effet, il n’est pas rare aujourd’hui d’arriver sur un lieu qui propose plusieurs réseaux Wi-Fi ayant chacun des réglages qui lui sont propres et qui ne permettent peut-être pas les mêmes accès ou fonctionnalités. C’est le cas chez Agnosys par exemple, où nous disposons de plusieurs réseaux Wi-Fi ne fournissant pas tous les mêmes vitesses de connexion à Internet ou les mêmes accès aux services locaux (serveurs, imprimantes, sauvegardes, etc.).

Etape 1 : localisez l’app Raccourcis sur votre iPhone/iPad

Etape 2 : ouvrez l’app Raccourcis et touchez « Automatisation »

Etape 3 : touchez « Créer une automatisation perso. »

Etape 4 : sélectionnez « Wi-Fi »

Etape 5 : choisissez le (les) réseau(x) impliqué(s) puis touchez le bouton « OK ».

Attention, vous ne pouvez sélectionner que des réseaux auxquels votre appareil a été connecté au préalable.

Touchez « Suivant ».

Etape 6 : ajoutez l’action à réaliser une fois le réseau Wi-Fi rejoint

Dans cet exemple, nous ajoutons l’affichage d’une notification.

Après avoir touché « Ajouter une action », entrez « Notification » dans le champ « Rechercher apps et actions » (encadré numéro 1). Vous pourrez ensuite sélectionner « Afficher la notification » (encadré numéro 2).

Etape 7 : modifiez le texte en conséquence et touchez « Suivant »

Validez votre automatisme en touchant le bouton « OK ».

Etape 8 : vérifiez que votre automatisation est bien conforme à ce que vous souhaitiez

Il ne vous reste plus qu’à tester votre automatisme et à observer que la notification s’affiche sur l’écran d’accueil dès lors que votre appareil se connecte automatiquement à un réseau Wi-Fi connu. Pour le tester facilement, vous pouvez désactiver et réactiver depuis le Centre de contrôle la fonction Wi-Fi de votre appareil.

Touchez la notification et lisez le texte personnalisé. Félicitations ! Vous avez créé votre première automatisation avec l’app Raccourcis !